
Présentation du recueil Regard Agrandi
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Michel Jammet délaisse souvent son tablier de jardinier et de conseiller, son jardin, ses fleurs et l’entretien de ses arbres fruitiers pour se livrer à son autre passion : la poésie. « Dans ma jeunesse, élève de l’école d’horticulture La Mouillère à Orléans, j’allais fréquemment assister à des concerts et je m’intéressais beaucoup à la lecture, ce qui a éveillé en moi ce plaisir pour les mots et les poèmes. Du jour où j’ai découvert l’humoriste Pierre Desproges, je suis devenu fan de ses livres et de ses spectacles qui m’ont donné véritablement l’envie d’écrire. J’aurais d’ailleurs aimé le rencontrer, mais sa disparition prématurée à l’âge de 49 ans ne m’a pas permis de réaliser ce souhait. »L’amour, la guerre, la mort, le social et la vie en général, constituent les thèmes de prédilection du jardinier-poète. « Je m’inspire du comportement des gens, de leur attitude physique, de l’impression qui se dégage de leur visage et de la forme de celui-ci. En écoutant de la musique à l’exception toutefois du hip-hop et du rap, les mots me viennent et les images enregistrées dans ma mémoire resurgissent ; il me suffit de les transcrire sur le papier. »
Michel a déjà écrit cinq recueils de poésies et un pamphlet. Aujourd’hui, il présente Mihaly, Regard agrandi, paru en décembre 2015. Mihaly est le pseudonyme de Michel en hongrois. « Songeur, Mihaly observe le monde qui l’entoure avec autant de révolte que de mélancolie, de tendresse et de bienveillance. Inspiré par les fleurs et les végétaux, il chante la beauté de la nature et des brassées de roses. De ses rencontres humaines, il loue l’authenticité, la générosité et le franc-parler. Sous sa plume s’éveillent les passions, et ce sont, tour à tour, la solitude, la misère et l’absurdité du monde qui se déchire, dans un curieux face-à-face avec l’érotisme, l’amour, l’entraide et la justice. »
Le jardinier-poète amoureux de cette nature pourtant généreuse que l’on s’acharne à vouloir détruite, écrit : « Je préfère être l’amant de la nature que la maîtresse des pesticides. »A lire pour se réchauffer le cœur et s’échauffer l’esprit. Des mots à l’image, il n’y a qu’un angle à modifier, le jardinier et poète est également photographe.
> Lire l’article original de la Nouvelle République
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